Pour rédiger de cet article, je me suis inspirée des articles suivants :

• http://www.pixalione.com/referencement/site-mobile.html
  
• http://www.commentcamarche.net/faq/34269-referencement-d-un-site-mobile
• http://www.journaldunet.com/solutions/seo-referencement/optimiser-le-referencement-mobile.shtml

Aujourd'hui le web mobile offre de grandes possibilités en termes de positionnement marketing & de référencement. En effet, une grande partie de la population possède désormais un téléphone lui permettant de surfer sur le net.

Il est donc essentiel d'avoir un site mobile. Deux conseils pour celà :

1. Vérifier que son site mobile est bien indéxé sur Google Mobile

Le site mobile doit être écrit dans un langage spécifique au mobile, par exemple le XHTML Mobile ou le Compact HTML. De cette manière, il pourra s'afficher sur un téléphone; c'est la condition sinequanone pour que le site soit indexé par GoogleBot Mobile. Il ne faut par conséquent pas négliger la phase de test du site à partir d'appareils mobiles. 

2. Il est recommandé d'utiliser une URL différente pour la version mobile du site

La plus grande difficulté en matière de référencement mobile vient bien évidemment du fait qu’il faille créer une mise en page spécifique et adaptée à l’écran des téléphones portables et que cette contrainte entraîne la création de contenu spécifique. Il est possible d’adopter deux méthodes distinctes : URL différentes avec mise en page spécifique ou URL identiques avec adaptation automatique au type de visiteur. Dans tous les cas, vous devrez choisir soit de diriger, soit de rediriger vos visiteurs sur la version mobile de votre site. Il sera nécessaire de créer un sitemap du site mobile si l'URL est différente du site non-mobile. Il permettra à Google de prendre en compte toutes les URL et de l'informer lors de la mise en ligne de nouvelles pages. Les URL listées dans le sitemap doivent bien évidemment renvoyer à des pages ayant un contenu mobile. 

3. Contenu et liens mobiles

Le contenu doit correspondre au mieux aux URL du site et doit être facilement crawlable. Il est aussi recommandé de réduire la taille des url, des titres et des métadonnées pour que ces informations soient affichées correctement sur les écrans des smartphones.

Il faut s'assurer que les pages du site mobile contiennent un nombre raisonnable de liens sortants menant à des sites complémentaires. Il faut donc développer une stratégie de linking avec des sites mobiles pertinents pour augmenter la popularité sur le web mobile et améliorer le référencement mobile.

Il faut aussi faire attention au linking interne en linkant les pages les plus importantes en interne. Que la stratégie de linking soit interne ou externe, il est important d'utiliser des anchor text riches avec des mots clés stratégiques. Ces techniques traditionnelles vont déjà permettre d'améliorer le référencement du site mobile.

4. Mots-clés

Selon des études de Google, les mobinautes tapent moins de caractères lors de leurs recherches. Les moteurs de recherche mobiles ont donc moins a travaillé mais doivent offrir du contenu pertinent. C'est pourquoi Google et d'autres moteurs ont développé la recherche prédictive.

Il est donc très important pour le référencement mobile de se placer dans les expressions de recherche prédictive les plus courantes qui sont liées au site contrairement au référencement traditionnel où il est plutôt nécessaire d'identifier un groupe de mots clés. Ce travail est donc différent de celui nécessaire pour le référencement d'un site traditionnel.

5. Géolocalisation

La géolocalisation concerne directement le référencement, il sera donc nécessaire de s'inscrire sur des supports comme Google Maps afin d'augmenter ses chances d'apparaitre dans les premiers résultats puisque le mobinaute ne cherche pas en profondeur dans les moteurs de recherche. 

La rédaction de cet article a été inspirée par la lecture des suivants :

• http://blog.youseemii.fr/impact-des-reseaux-sociaux-sur-le-referencement-naturel-vers-une-strategie-web-globale
  
• http://www.journaldunet.com/solutions/seo-referencement/smo-et-seo-via-facebook-et-twitter/

Commençons par une brève définition du Social Media Optimization : SMO

L’Optimisation pour les Médias Sociaux ou référencement social  est un ensemble de méthodes pour attirer des visiteurs sur des contenus de site web grâce à la promotion de ceux-ci via les médias sociaux. Le SMO regroupe les actions visant à favoriser la diffusion de contenu par l’action des internautes (User Generated Content).

Or, nous pouvons constater que Facebook, Twitter & autres réseaux sociaux influencent désormais les résultats sur les moteurs de recherches. Seraient-ils un levier au SEO naturel ?

C'est ce que pense Alexandre Moussier, consultant en SMO et responsable référencement au sein de l'agence Brioude Internet. Il s'appuie, en outre, sur un test qu'il a pu réaliser. "Lorsque nous avons lancé un blog, j'ai créé un compte Twitter. J'ai ensuite employé la technique du mass following, c'est-à-dire le fait de s'abonner à un maximum de comptes Twitter, dans le but qu'ils me suivent en retour. Je me suis aussi efforcé que des comptes influents me suivent. Après avoir publié un article sur le blog au sujet de mass following, je l'ai tweeté. Ce lien a ensuite été retweeté par des comptes influents. Alors que le blog venait d'être créé, l'article a bondi en tête des SERPs de Google", raconte-t-il.

"500 retweets = 200 backlinks" ?

Ce n'est pas le seul à avoir mené ce type d'expérience, avec peu ou prou les mêmes résultats. Le site SEO Moz, expert en référencement, a également pu constater qu'un lien posté sur Twitter et largement repris s'était rapidement très bien positionné dans les SERP sur des requêtes très concurrentielles. "Le site en était même arrivé à la conclusion que 500 retweets avait la même influence que 200 backlinks", ajoute Alexandre Moussier qui cependant précise que les retweets gagnent en puissance en termes de SEO s'ils émanent de comptes influents.

Google se rapproche de plus en plus de Twitter : ils ont crée un partenariat ensemble.

Il est ainsi possible d'associer à un compte Google un compte Twitter. Par ailleurs, Google a publiquement admis utiliser les liens postés dans Twitter comme un signal pesant dans ses SERP.

Relier un site web à un réseau social lui permettait donc d'acquérir une meilleure visibilité.

Cet article est un résumé de plusieurs articles que j'ai lu et synthétisé afin de rassembler une information plutôt complète et synthétique des pénalités de Google. Voici les articles en question :

• http://www.webrankinfo.com/dossiers/conseils/comment-eviter-penguin
• http://www.axekap.fr/penalites-google
• http://forum.webrankinfo.com/guide-des-penalites-google-t168553.html
• http://www.reddog-marketing.com/articles/penalites-google.php

De l’exclusion totale du site de l’index de Google jusqu’à une perte de positionnement limitée à des requêtes spécifiques, on rencontre aujourd’hui de nombreux types de pénalités, des plus sévères aux plus restreintes, mais parfois  plus difficilement compréhensibles ou même détectables.
A distinguer :

• les pénalités manuelles, en général appliquées suite à des spam reports
• les pénalités automatiques déclenchées algorithmiquement. On parle dans ce dernier cas en général de filtres. Les algorithmes utilisant des centaines de filtres, il n’est pas toujours aisé de comprendre d’où proviennent les contributions négatives.

Les observations montrent qu’un site ou seulement une partie de ses rubriques, ou même de ses pages peuvent se voir rétrograder sur les résultats de recherche. Il en résulte qu’un site peut très bien rester correctement positionné sur certains termes, et se voir déclasser sur d’autres. Toute perte de positionnement, même systématique, n’est pas toujours synonyme du déclenchement d’une pénalité ou de filtres. Le web et les moteurs de recherche évoluent constamment. La concurrence progresse, certains de vos liens les plus importants peuvent avoir été dévalués, et les algorithmes de classement sont mis à jour régulièrement. Google parle d’environ 500 modifications chaque année.

Si votre site ne répond plus à la commande (site:votredomaine.fr) vous ne figurez plus dans l’index ! Ou encore si celui-ci est toujours indexé, mais ne ressort plus sur son nom ou sa marque (taper « votredomaine » sans l’extension .tld), vous faites l’objet d’une pénalité manuelle infligée pour 30, 60 jours, voire 6 mois ou plus, suivant la gravité des faits.

Vidéo à voir de Matt Cuts, sur les pénalités de google : http://www.youtube.com/watch?v=ES01L4xjSXE

Dans le monde du référencement, il existe deux camps : le « whitehat » et le « blackhat ». Ces deux clans ont un but commun : améliorer le référencement naturel du site Internet. Par contre, leurs méthodes divergent radicalement. Les whitehat respectent une éthique stricte et s'engagent à n'utiliser que les techniques légales. Les blackhat ne s'embarrassent pas d'une éthique quelconque, pour eux, seul le résultat compte. 

Pour comprendre la différence entre le SEO whitehat et le blackhat, il est important d'avoir en tête la notion de hacker. Le hacker est un « bidouilleur » informatique. Ses connaissances très pointues lui permettent de pénétrer et d'étudier les systèmes informatiques, jusqu'à en découvrir les éventuelles vulnérabilités. Souvent, ces faiblesses des systèmes informatiques, n'ont pas encore été exploitées et n'ont pas été rendues public. C'est à partir de se moment que va se créer la différence entre whitehat et blackhat. En effet, le whitehat est pour la divulgation totale de la faille trouvée, alors que le blackhat va avoir tendance à garder cette faille pour lui afin de pouvoir en tirer des avantages, le plus longtemps possible.

L'origine des mots whitehat et blackhat viendrait de la couleur des chapeaux que portaient les cow-boys. La couleur blanche était destinée aux « gentils » et la couleur noir aux « méchants ». Dans le domaine du référencement, la répartition est la même. Les spécialistes du référencement SEO whitehat, sont soucieux du respect d'une éthique, les blackhat n'en ont cure. 

1. SEO White Hat :

Le SEO whitehat va utiliser scrupuleusement des techniques, qui respectent les conseils de référencement de qualité des moteurs de recherche. Il sait bien concevoir un site Internet, le rendre accessible pour les moteurs de recherche. Il sait aussi qu'elle technique il ne doit pas utiliser. On parle alors de référencement éthique, c'est-à-dire que le référenceur cherche à respecter les consignes des moteurs de recherche.

Le but des SEO whitehat est de produire du contenu de haute qualité destiné aux internautes et non aux moteurs de recherche. Ces techniques seront utilisées dans le cas ou un site Internet souhaite se positionner durablement dans le temps. Cela consiste notamment à enrichir et renouveler le contenu. Les liens partant ou arrivant sur le site seront choisis et mis en place, conformément aux indications données par les moteurs de recherche. 

2. SEO Black Hat :

A la différence du SEO whitehat, le SEO blackhat ne va pas hésiter à tenter d'améliorer le classement d'un site Internet dans les moteurs de recherche, en utilisant des techniques déconseillées par les moteurs ou encore en trompant l'internaute ou les robots des moteurs. L'objectif est d'obtenir un trafic très fort sur une durée limitée (pour un site événementiel par exemple) ou encore de favoriser au mieux des pages web sur des requêtes à fort potentiel commercial.

De plus le SEO blackhat est conscient du risque de se faire black listé par les moteurs de recherche. Il va se focaliser sur la recherche des défauts de l'algorithme qu'utilise un moteur de recherche, pour l'exploiter. Le blackhat, va utiliser des techniques cachées. Parmi les techniques les plus souvent utilisées, citons :

• Le cloaking : c'est une ancienne technique (utilisée au début des années 2000) qui consiste à proposer deux contenus pour une même page. Le cloaking consiste à mettre en grand nombre des mots-clés sur une page, qui ne sont pas affichées aux visiteurs, mais qui sont destinés aux robots des moteurs de recherche.
• Le texte caché : il s'agit d'une portion de texte visible par les robots des moteurs de recherche, mais pas par l'internaute. 
• La page satellite : c'est une page parallèle à un site, elle n'a pas obligatoirement la même structure, mais propose une sur optimisation en terme de mots clés, de liens et de textes. On utilise aussi les termes de pages alias ou de pages fantômes. Aujourd'hui ce type de page est utilisé par exemple pour les lp (landing page) adwords, etc.

3. Greyhat (référencement mixte)

Les Greyhat sont des référenceurs qui manipulent à la fois des techniques de black et de whitehat. Ils vont jouer avec les limites des bonnes pratiques des moteurs de recherche. Ils vont se servir des techniques whitehat pour optimiser un site Internet et utiliseront ensuite les techniques de blackhat pour booster le trafic et se positionner dans les premières pages de moteurs de recherche.

Cependant, le Greyhat se rapproche du SEO whitehat, dans le sens ou il va chercher à avoir un contenu pertinent et va vouloir évoluer avec les moteurs de recherche. Ce type référencement tend à franchir ponctuellement la ligne jaune. C'est un aveu de manque de compétence. Il est à noter que pour les entreprises, ce type de référencement mixte est plus difficile à détecter et donc à éviter, puisque les agences utilisant les chapeaux gris, ne montreront que leur chapeaux blancs au moment de signer le contrat de référencement naturel !

Source : http://www.pixalione.com/referencement/seo-whitehat.html 

Cet article donne tous les meilleurs conseils pour bien référencer ses images afin d'être bien positionné dans la recherche d'images Google Image et également dans la recherche web classique, maintenant que Google inclut (parfois) des images dans la recherche classique (Google appelle ça la recherche universelle).

Principaux critères utilisés par les moteurs pour la recherche d'images :

• Attribut ALT : remplissez systématiquement l'attribut alt de la balise img en y mettant une description courte de l'image (quelques mots clés). Ne truffez pas cet attribut avec un paragraphe entier ou toute une série de mots-clés à la suite... Egalement, la phrase utilisée pour cet attribut doit réellement correspondre à l'image
• Nom de fichier: Si vous gérez vos images une par une (et que vous n'en avez pas beaucoup), choisissez des bons noms de fichier pour vos images comme décrit ci-dessous. Dans le cas contraire, ne vous embêtez pas à le faire car l'impact est vraiment très faible.

- Incluez des mots-clés en rapport avec l'image

- Séparez les mots par un bon séparateur (tiret ou underscore). Ne collez pas les mots comme dans centrevilletoulouse, choisissez plutôt centre-ville-toulouse

- N'utilisez pas de caractères spéciaux ou accentués, ni de majuscules, ça vous évitera des ennuis

- Pour les photos, utilisez le format JPEG, et pour les autres images le format PNG ou GIF

- Légende : n'oubliez surtout pas d'ajouter une légende au-dessus ou au-dessous de l'image (ou bien à côté). Les moteurs analysent le contexte sémantique de l'image et se basent entre autres sur cette légende. 

- Intégration d'images dans les articles : quand vous rédigez des articles, surtout s'ils sont destinés à être repris ailleurs, incluez le plus possible d'images.

Les contraintes techniques :

• Formats d'images pris en compte par Google

Google indexe les images aux formats suivants : BMP, GIF, JPEG, PNG, WebP et SVG. Evidemment le BMP est déconseillé car il n'inclut pas de compression (le fichier image est alors trop lourd).

• Taille d'image (en pixels) et poids maximal du fichier (en Ko).

Il n'y a pas de limite !

• Prise en compte des données EXIF, XMP

Google lit toutes les méta-données situées dans l'entête du fichier image et les utilise s'il juge cela pertinent. Par ailleurs, ces informations sont parfois affichées dans la partie droite de la page qui donne les détails sur une image. (source)

Sources :

• http://www.webrankinfo.com/dossiers/google-images/referencement-images
• http://www.webrankinfo.com/dossiers/referencement-des-images

Pour rédiger cet article j'ai lu plusieurs articles, en provenance de mêmes sites souvent, en voici quelques-un :

• http://www.webrankinfo.com/dossiers/techniques/referencement-2009
  
• http://www.webrankinfo.com/dossiers/strategies-de-mots-cles/les-bases
• http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/55151/conseils-pour-optimiser-le-referencement-de-son-site.shtml
• http://www.commentcamarche.net/contents/1267-referencement-naturel-seo#ameliorer-le-crawl
• http://www.commentcamarche.net/faq/9444-les-bases-pour-referencer-votre-site-professionnel-facilement

Améliorer le crawl

Le référencement commence par le crawl (en français exploration) de votre site par les robots d'exploration des moteurs de recherche. Il s'agit d'agents parcourant les sites à la recherche de nouvelles pages à indexer ou bien de pages à mettre à jour. Un robot d'indexation agit en quelque sorte comme un visiteur virtuel : il suit les liens présents sur votre site afin d'explorer le maximum de pages.

L'optimisation du référencement de votre site nécessite ensuite une étape indispensable : définir une liste de mots-clés ou expressions stratégiques (une expression est constituée de plusieurs mots-clés).

En effet le but du référencement est d'améliorer la position de votre site dans les moteurs de recherche. Ceux-ci fonctionnant principalement par mots-clés, il faut réfléchir aux mots ou expressions qui caractérisent le site.

La détermination a priori des mots-clés stratégiques pour le site est une étape devant précéder ou accompagner sa création. L'objectif est de trouver les mots qui d'une part correspondent bien au contenu et d'autre part qui seront le plus souvent tapés par les internautes dans les moteurs de recherche. Il est donc essentiel de bien définir la cible du site.

Une fois ces mots choisis il faut les insérer le plus possible dans le site afin d'être vu.

Il faut différencier deux types d'optimisation :

1. L'optimisation on-page

L'expression "optimisation on-page" regroupe l'ensemble des techniques utilisables sur son propre site. Elle comprend : 

• Les balises title
• Les balises description et autres meta
• Url rewriting
• Balises H1, H2... 
• L'optimisation des images (cf article suivant)
• Linking interne

2. L'optimisation "off-page"

• Le netlinking, étape essentielle du référencement

Le netlinking désigne tous les liens présents sur d'autres sites qui pointent vers le votre (les backlinks). Cette étape est essentielle car dès que vous essaierez de positionner votre site sur des requêtes concurrentielles, il vous faudra travailler votre netlinking.

Pour celà, deux façons :

• Link baiting

  Linkbaiting signifie "hameçonnage de liens" : le principe est de créer un contenu (par exemple un article) qui va naturellement attirer des backlinks plutôt que d'attendre que les backlinks tombent du ciel, on va aller appâter les fournisseurs de liens potentiels :

  - en parlant à des connaissances
  - en discutant sur des forums
  - en bloguant à propos de cette ressource / en la proposant à des blogueurs
  - en la postant sur des réseaux sociaux comme del.icio.us, digg et cie pour les ressources en anglais, ou scoopeo et cie pour le français (il va sans sans dire que c'est beaucoup plus efficace en anglais)

L'idée n'est absolument pas de spammer mais juste de mettre en avant cette ressource aux bons endroits du web pour que les backlinks affluent.

• Link ninja

  Cette technique consiste à repérer les emplacements intéressants pour placer des liens vers son site et de les placer soi-même ou d'inciter le webmaster à les ajouter. L'intérêt est une plus grande maitrise de la forme des liens générés (URL de destination et ancre du lien). La difficulté est qu'il faut être vendeur pour inciter les autres webmasters à mettre en place des liens sur leurs sites, il faut aussi être un négociateur car une contre partie est souvent demandée.

Enfin, il faut un outil de mesure d'audience, pour étudier le référencement du site, un outil permettant de suivre les visites de votre site et de les analyser. Il y a tout un tas d'outils performants gratuits ou payants. Google Analytics n'est pas parfait mais est gratuit, facile à mettre en place et fournit assez de données pour des données simples à analysées.

Pour rédiger cet article je me suis plongée dans la lecture des définitions fournies par no chers moteurs de recherches et de plusieurs sites parlant de référencement. En voici deux :

• http://webrankinfo.com
• http://www.commentcamarche.net/contents/1267-referencement-naturel-seo

Le terme SERP (Search Engine Result Pages) désigne les résultats de recherche tels qu'affichés après une requête. 

Le référencement n'est pas nécessairement payant car les moteurs de recherche indexent gratuitement le contenu des sites et il n'est pas possible de les payer afin de mieux positionner son site.

Il est essentiel de comprendre que d'un utilisateur à l'autre les résultats pour un même moteur de recherche peuvent varier, d'une part selon le paramétrage qu'a choisi l'utilisateur (langue, nombre de résultats par page) mais aussi selon le lieu (pays, région) d'où la requête est faite ou encore le terminal (mobile, tablette, ordinateur de bureau) ou bien parfois selon les requêtes effectuées préalablement par l'utilisateur et enfin car les moteurs de recherche font régulièrement de l'A/B testing pour tester différents affichages. A ce titre, il n'est pas rare qu'un site disparaisse des SERP sur une requête pendant 24h à 48h et ré-apparaisse ensuite.

 Les pages référencées en première position obtiennent évidemment plus de visites, puis viennent les pages en seconde position, etc. Il en va de même pour les pages référencées en première page par rapport aux pages référencées en seconde page. Ainsi, si une page se trouve en 11ème position (donc en seconde page), il est très intéressant d'essayer de l'optimiser afin de la faire passer en première page et obtenir un gain important de visiteurs uniques. 

Les principaux réseaux de diffusion sont :

• Google adwords
• Yahoo sponsored links
• microsoft AdCenter
• Agences spécialisées

Les modes de tarification :

• CPC : l'annonceur paye chaque clic
• CPM : l'annonceur paye pour 1000 affichages de ses annonces graphiques sur le réseau Display
• CPA : l'annonceur paye à chaque fois qu'un internaute a rempli une action déterminée telle qu'un achat, l'inscription à une newsletter, la participation à un jeu, etc. Cette tarification n'est disponible qu'après une période de test durant laquelle le réseau détermine quelle est la valeur recommandée pour chaque action

Les liens sponsorisés permettent de positionner un site dans les premiers résultats des moteurs de recherche.Il s'agit des mots-clés aux enchères sur un ou plusieurs réseaux de diffusion. Lorsqu'un internaut effectue une requête comportant l'un des mots-clés achetés, l'annonce est imprimée. 

L'annonceur ne paie que lorsque l'internaut clique sur l'annonce.

Les liens sponsorisés permettent de :

• Figurer de manière rapide dans les pages de résultats
• Une maîtrise totale des coûts
• Un suivi des objectifs de la campagne
• De toucher une cible qualifiée
• De tester ses campagnes marketing sur des zones géographiques/langues précises

C'est un système particulièrement bien adapté pour :

• La génération de prospects
• Le retour sur investissement
• La fidélisation clients

Choix des paramètres de campagne par référencement :

• Zone géographique 
• Langues
• Période : durée de la campagne
• Planification : choix des jours, des heures
• Diffusion des annonces : accélérées ou lissées sur la journée
• Ciblage démographique : âge, sexe
• Préférence de positionnement
• Réseau : recherche et/réseau de contenu
• Appareils : ordinateurs/smartphones/tablettes
• Budget journalier : capping

Source : http://fr.slideshare.net/CyrilEscarguel/rfrencement-naturel-seo-rfrencement-payant-sem-bem-bordeaux-management-school